Prenons soin de nos personnels soignants

Aidons-les à retrouver un peu de temps au travail, à retrouver le plaisir de travailler
Publié le : 12 octobre 2020
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Les unes des médias témoignent de l’état de santé de notre système hospitalier. Tantôt sous l’angle de la fierté d’avoir des “combattants” solides face à l’épidémie du coronavirus, qui continuent de faire front chaque jour en venant soutenir les personnels en place (bénévoles, “prêt” de main d’œuvre…), tantôt sous l’angle de leurs réclamations pour travailler dans de bonnes conditions, pour soigner, pour faire mieux, pour pouvoir faire plus. Prenons l’exemple du CHU de Nantes, mais il est loin d’être le seul dans ce cas : en 2019 il comptabilisait 240.000 jours d’arrêts de travail, ce qui représentait plus de 25 jours en moyenne par salarié. Ceci est symptomatique d’une usure aiguë de nos personnels hospitaliers. Et aujourd’hui, plus que jamais avec l’épidémie de covid à laquelle ils doivent faire face depuis des mois maintenant, ils sont plus que fatigués, ils sont au bout du rouleau… Et pire : ils ont peur d’aller travailler.

« Je crains de mettre en danger mes enfants, ma famille. On n'a plus rien à leur donner car on a tout donné à l'hôpital » déplore Laure, infirmière.

 

Désabusés, certains pensent même parfois à se reconvertir.

Pourtant ils aiment toujours leur métier, l’effectuent avec passion et dévouement, prennent soin des autres jusqu’à épuisement, donnent tout à leur travail mais se retrouvent vidés une fois rentrés chez eux, pleurent, craquent en partant et/ou en rentrant de l’hôpital… Depuis des années, ils manifestent pour alerter sur le manque de moyens (mouvements de grève à répétition… sans suite) ; comme toujours ici au CHU de Nantes où le manque d’effectif est évalué à près de 1400 postes à ouvrir en plus des 13.500 qui y travaillent déjà. 

La menace d’une seconde vague de covid accélère leurs craintes ; manque de lits, manque d’effectifs, appréhension des besoins avec l’arrivée prochaine des maladies saisonnières…

« Là, ce n'est plus possible ! Il faut nous donner des moyens pour prodiguer des soins de qualité » s’indigne Olivier Terrien, aide-soignant au CHU de Nantes.

Et Arnaud Chiche, réanimateur à la polyclinique d’Hénin-Beaumont de fataliser en craignant la seconde vague de covid : « Ça risque même d’être pire. Sur la ligne de départ, on sera moins fort. À Lens, par exemple, 6 infirmières sont parties. Le personnel est épuisé ».

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Nos soignants ont besoin de solutions

Nos soignants ont besoin de solutions pour améliorer leurs conditions de travail. L'outil Divoluci peut en être une car il participe à l’orientation et au tri des patients en demande pressante de soins non vitaux, selon leur pathologie et leur niveau de gravité, il évite ainsi aussi toute rupture dans leur parcours de soins et donc toute potentielle aggravation de leur cas. 

Beaucoup de patients qui venaient aux urgences, faute d’autres solutions connues de leur généraliste, les engorgeaient. Dorénavant ils pourraient très bien obtenir un rendez-vous avec un professionnel de santé spécialisé via leur généraliste. Ils iraient par conséquent directement dans le bureau du spécialiste sans passer par le service des urgences et ses infinies heures d’attente. De cette manière, les personnels urgentistes verraient leurs conditions de travail se détendre un peu, avec un flux normal de patients en demande de soins réellement vitaux + quelques personnes venues sans avoir consulté au préalable leur médecin traitant. Au niveau de la France, ils se trouveraient ainsi dégagés de près de 555.000 patients encombrant les urgences pour des demandes de soins non vitaux. Aussi, les secrétaires médicales ressentiraient une amélioration de leur qualité de vie au travail. Elles recevraient moins d’appels de patients n’arrivant pas à expliquer leurs pathologies, moins de stress quant au fait de déranger leur spécialiste pour qu’ils prennent un appel alors qu’il est en consultation, ou pour trouver une solution inextricable à chaque demande de rendez-vous… Elles se retrouvent souvent prises entre le marteau et l’enclume, entre les demandes de soins des patients et l’agenda bien rempli de leur spécialiste, entre l’envie de rendre service et l’impossibilité de dire oui à tout…

 

Chez Divoluci, nous sommes convaincus de pouvoir aider professionnels de santé et patients à mieux vivre leur quotidien. Vous allez être surpris par l’étendue des possibilités qu’offrent notre outil.

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L'équipe Divoluci.
Article publié le 12 octobre 2020.

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